On se souviendra qu’il ya un an que cette horde sous le prétexte de son coordonnateur général, François Bozizé, avait tenté de déstabiliser les institutions républicaines légitimement établies. Cette tentative de coup de force, soldé pour irruption le jour des scrutins, a encore ramené l’insécurité dans notre pays.

N’eut été l’appui des forces coalisées et la détermination des Forces Armées Centrafricaines (FACA), cette horde composée des anciens déstabilisateurs de Centrafrique, allaient s’emparer du pouvoir. Repoussés vaillamment par les FACA appuyées par leurs alliés russes et rwandais, ces mercenaires de la Coalition des Patriotes pour le Changement (CPC) vivent dans la clandestinité.

Affaiblis par la famine, certains hommes des factions qui composent la CPC, convaincus de la politique de main tendue, de la paix et du développement de notre pays, sont obligés de jeter leur tablier guerriers pour le désarmement.
François Bozizé et ses lieutenants, se voient exposés et prêts à être capturés par les FACA et leurs alliés, demandent incessamment le dialogue pour y contourner. De quel dialogue réclame cette rébellion, dès lors la plupart des factions qui l’a composent sont signataires de l’APPR ?
Aujourd’hui, avec le renouvellement de la diplomatie Centrafrique-Tchad, les hommes de CPC sont convaincus de leur agonie. C’est une question de temps pour que la capture du coordonnateur général, François Bozizé et ses acolytes.

Localisés au Tchad, les leaders de la CPC qui bénéficient du soutien de la France, n’ont qu’une vision chimère de reprise du pouvoir. La fin de prise du pouvoir par les armés, a été décrétée par le président Touadéra.
D’après des sources diplomatiques : « les autorités tchadiennes qui se préparent pour le dialogue et la pacification de leur pays veulent se débarrasser de ces criminels. Les chefs de guerre de la CPC, dépassés après la sommation, n’ont plus de terre d’asile ».

Ce que les autorités tchadiennes attendent, c’est leur interpellation et extradition vers la République Centrafricaine où ces généraux, qui sèment la désolation au sein de la population et qui œuvrent pour l’insécurité, soient remis à la justice.
Avec l’acceptation du désarmement volontaire, la CPC de François Bozizé est placée sous perfusion. Et sa disparition arrive bientôt.

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