Cela ne devrait étonner personne sur le caractère nocif et attentatoire d’une brasserie coloniale, pilotée de loin pour organiser la rupture de la bière en Centrafrique.

On ne parlerait pas de la rupture due à la carence des matières premières, entre autres, malt, sucre, riz, maïs et autres. C’est une rupture inféodée à la politique de l’ancienne colonie qui a tout suspendu dans le seul intérêt d’affaiblir économiquement la République Centrafricaine.

Les grossistes, détaillants et consommateurs n’ont que leurs yeux voyant pour pleurer face à l’imposition de cette brasserie coloniale qui fait la pluie et le beau temps en Centrafrique.
Est-ce qu’il manque réellement les matières premières pour la production régulière de la bière ? Hier, c’est DOPEL qui est produit, aujourd’hui, c’est la 33 en petite quantité et demain, c’est la Castel. A quel jeu, joue cette brasserie coloniale ?

Toutes ses manigances visent à faire affaisser le régime Touadéra et asphyxier économiquement notre pays. Le mot d’ordre est donné et la brasserie ne fait qu’appliquer.
A défaut de la concurrence, la brasserie MOCAF fait sa volonté et le Directeur Général déclare publiquement qu’il a les autorités du ministère du Commerce dans ses poches. Qu’à cela ne tienne !

Jusque-là, aucune raison n’a été fournie pour justifier cette rupture de production de boisson sur le marché. Une brasserie coloniale qui, d’ ailleurs incapable de produire la bière en quantité suffisante, ne veut pas sentir l’importation de la bière étrangère, voir même le vin de palme (bossongo) dont le Directeur Général considéré de bière sauvage.

Devons-nous continuer à observer les bavures d’une brasserie impérialiste et coloniale qui fait sa loi et sa volonté sur le marché ? Il est temps que la clarté soit donnée sur les raisons de cette rupture ou de production en quantité réduite. C’est une façon de pousser les consommateurs aux grognes sociales.

A suivre !

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