Toute porte à croire que les Centrafricains sont désormais capables de mener un combat démocratique au lieu de se laisser tenter de mener une lutte armée pour accéder au pouvoir.
Une nouvelle ère s’ouvre dans cette partie du monde, l’heure est à la réconciliation clament les Centrafricains qui en ont marre de cette crise interminable. Mais quand le nœud social commence à se relâcher et l’Etat s’affaiblit.
Quand les intérêts particuliers commencent à se faire sentir et les petites sociétés à influer sur la grande, l’intérêt commun s’altère et trouve des opposants, l’unanimité ne règne plus dans les voix, la volonté générale n’est plus la volonté de tous, il s’élève des contradictions des débats, et le meilleur avis ne passe point sans disputes.
Cela s’appelle de la démocratie ou les avis se partagent et les idées se confrontent. Ce modèle est adopté par les centrafricains et l’esprit d’équipe est prôné par la classe politique, vivement, le renouveau est à l’ordre du jour.
Les moyens démocratiques pour accéder au pouvoir restent la confrontation des idées, la proposition des projets de sociétés solides pour contribuer au développement de la RCA.
Espérant que l’esprit de barbarie soit écarté à jamais pour rétablir l’ordre et l’autorité de l’Etat.
La reconstruction doit se faire avec toutes les compétences de Centrafrique, que ce soit du camp de Faustin Archange Touadéra ou des chefs de guerre, l’heure est à la réconciliation.
Il serait souhaitable de construire le pays avant toute chose. En attendant, nous vous prions chers (es) compatriotes de bien vouloir enterrer vos hache de guerre, car la rébellion est la véritable cause de la destruction de notre pays. Nous avons accusé plus de retard pour le développement de notre République.