L’Afrique connaît l’un des plus forts taux de mortalité par cancer du sein. Les femmes qui meurent de cette maladie sont de plus en plus jeunes et se rendent à l’hôpital à un stade trop avancé, déplore l’OMS, qui mise sur davantage de sensibilisation.

Les examens et traitements anticancéreux ne sont pas encore accessibles à toutes et à tous sur le continent. Au Burundi, le Bujumbura Pathology Center est spécialisé dans le dépistage

Le centre privé travail en partenariat avec le secteur de santé public pour aider les hôpitaux à détecter les lésions précancéreuses. Car plus tôt le diagnostic est réalisé, moins il y a de risque que la maladie soit fatale.

” Le cancer du sein se découvre d’abord c’est l’apparition d’un petit nodule au niveau du sein. Après le dépistage, c’est la confirmation par l’anatomie-pathologie, nous demandons de faire ce qu’on appelle un bilan d’extension de la maladie qui va nous permettre d’observer si la maladie est localisée ou si elle est déjà étendue à distance ce qu’on appelle métastase. Si la maladie est localisée, l’approche thérapeutique sera de faire d’abord une réunion de consultation multidisciplinaire parce que c’est une maladie qui fait appel à beaucoup de spécialités” a précisé Dr Desiré Nimubona, oncologue, à l’hôpital Tanganyika Care Polyclinic (TCP).

Grace à des multiples campagnes de dépistage, des femmes sont allées se faire dépister à l’occasion de la journée mondiale du cancer du sein.

Il faut noter que le cancer du sein dans de rares cas peut attaquer même les hommes.

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