Loin de penser que le sport unit le Peuple, n’est qu’une véritable illusion en Centrafrique. Chaque président des fédérations sportives s’emploie à s’enrichir allègrement au détriment des athlètes centrafricains. Au lieu de contribuer pour le développement du sport, c’est l’affaire du tribalisme et clanique qui s’imposent. Et si l’on veut mettre de l’ordre, ce sont des critiques qui déferlent contre le ministre en charge du Sport.

Retenez votre souffle. Le basket ball centrafricain ne peut pas se développer ni avancer à cause des intérêts tribaloethnique des présidents de la fédération du basket ball. Le basket ball, considéré comme le sport en Centrafrique connait une chute vertigineuse à cause de l’esprit segrégationniste de ceux qui se sont succédé à la tête de cette fédération.
Pourquoi l’actuel président de la fédération du basket ball, Serge Singha Bengba s’attèle a discréditer le ministre de la Jeunesse, M. Aristide Briand REBOAS, qui veut la transparence dans la gestion des fonds alloués pour les compétitions ?

Ce même Singha Bengba se e croit tout permis en voulant nuire sans fondement au ministre de la Jeunesse, alors que la réalité est là? Il a employé l’un de ses neveu qui vit à Toulouse du nom de Yves Sindo, un ancien cameraman la TVCA, réputé dans la traîtrise sous le régime despotique de la séleka, voire l’affaire de l’ancien député de Maxime, pour s’en prendre aux ministre dans un live.
Ne maitrisant rien dans l’institution de la transparence impulsée par l’actuel ministre Aristide Briand REBOAS qui a la volonté de revivre le basket ball dans le temps, ce fameux proche Serge Singha Be

Béngba, rétribué se permet de e raconter ses boutades voire mêmes des invectives a l’encontre des nouvelles autorités sportives.
La corruption est devenue monnaie courante sous la présidence du président de la fédération du Basket ball. Comme à l’accoutumée, Serge Singha et ses acolytes s’emploient à faire retenir certains basketteurs pour nuire au ministre de la Jeunesse. On comprend que c’est toujours l’affaire d’ethnie ou de politique qui nuit aux disciplines sportives.
Voila comment un président avec un esprit de gloutonnerie veut tout mettre la main dans la gestion de fonds tout en inculquant de mauvaise pensée aux basketteurs de révoquer le Directeur Technique National que la même fédération a proposé au ministre pour son approbation.
Ce fameux auteur du livre qui, d’ailleurs n’a pas le niveau requis avec la cécité verbale, se permet de mettre la qualité et personnalité du gestionnaire désigné par le ministère des finances en cause, alors que le rôle de la fédération, c’est celui de proposer le budget et soumet ai ministère pour analyse et mobilisation des ressources sur la ligne de la li des finances , rubrique manifestation sportive et le Trésor Public débloqué les fonds tout en désignant un gestionnaire.

La seule question qui rest à poser est celle de savoir, pourquoi le président de la fédération du basket ball s’acharne contre le ministre en recrutant ses proches parents pour des analyses maladroites et infondées ? Pourquoi, demande a certains basketteurs ne peut pas prendre part à cause de ses intérêts mercantilistes ?
Au demeurant, il convient de dire que l’argent alloué sera géré dans la transparence car, le gestionnaire fera son rapport financier et qui sera soumis au contrôle de la Haute Autorité des Bonne Gouvernance. Adieu la gestion scabreuse des fonds destinés aux athlètes. On regrette pourquoi, le dossier d’un compatriote comme le Sultan Sany Yalo a été recalé. Si c’était lui, on connaîtrait l’envie d’un enrichissement sans cause dans le dos des basketteurs.

Affaire à suivre !

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