La tenue de l’assemblée Générale élective du CNOSCA, parrainée par Fidéle NGOUANDJIKA, conseiller à la présidence de la République, en matière des associations vient marquer une fois de plus, le non respect envers les autorités de l’État.
C’est une forme de rébellion douce. Malgré la non-conformité, l’illégitimité et l’illégalité de ceux qui l’ont organisé et l’interdiction du ministre de tutelle avant la décision du Tribunal Administratif, pour l’annulation du nouveau statut taillé sur mesure, Gilles Gilbert Grezénguet est passé en force pour se maintenir dans une posture oû il inflige la souffrance aux jeunes sportifs centrafricains. Et la présence du Conseiller à la présidence, Fidéle Ngouandjika encourage ce laxisme dans la famille sportive centrafricaine.

Contre vents et marées, le Comité National Olympique de Centrafrique (CNOSCA) est devenu la chasse gardée d’un clan qui assèche la caisse, mais aussi bloquant sine die l’avenir d’une jeunesse qui n’a que les yeux pour pleurer face un groupe d’individus se croyant manipulateurs a base des moyens financiers pour assouvir leurs appétits voraces.

Mais comment faire pour respecter l’autorité de l’Etat dés lors que certaines personnalités jouent le jeu des pleutres ou de la carpe en trahissant leur valeur et compétence? Comment pourrions nous mettre en pratique ou respecter la théorie de rupture avec les vieilles pratiques dés lors qu’il existe des petits cailloux dans nos souliers ?
En quoi pouvons nous interdire oû priver le prisonniers de leurs droit de voter, des lors parmi il existe de prisonniers argentiers qui corrompt et manipulent nos autorités comme des instruments aux fins de parvenir à leur but inavoué?

La présence du conseiller Fidéle Ngouandjika est une marque de trahison, d’encouragement à une rébellion douce face aux autorités légitimement investies.
Étant bel et bien désuet face à son comportement de déliquescence après avoir lynché son technicien de surface contrairement à la notion de faire play et d’avoir été condamné par la justice centrafricaine, l’imposteur Gilles Gilbert Grezénguet a tout fait pour s’accrocher du comité national Olympique parce qu’il s’enrichit allégrement dans le dos des jeunes sportifs ou athlètes centrafricains.

Comment voulons-nous que le sport émerge avec un comité olympique dont le président est un ségrégationniste et tribalisme voire même un tortionnaire des textes et règlements de la République ? En toute vérité, ce sont nos autorités qui nous bloquent à cause de leurs intérêts égoïstes. Si la souffrance continue de s’abattre sur notre pays, c’est parce que ce sont nos autorités qui créent des couloirs aux bandits pour nous asséner des coups fatales.

Aujourd’hui, le désordre organisé par le CNOSCA, soutenu par Fidéle Gouandjika est l’un des exemples selon lequel les bandits armés ou passifs peuvent toujours fouler au pied les principes. En quoi parlerons nous des prérogatives de puissance publique face aux agitateurs avérés, mais toujours soutenus par certaines de nos autorités légitimes? Est-ce qu’on pourrait aujourd’hui se rendre compte de la gravité de cette Assemblée générale élective bien qu’interdite, mais autorisée par le conseiller à la présidence en matière des associations, M. Fidele Gouandjika? De ce fait, de quel respect Gilles Gilbert Grézénguet et sa suite pourraient accorder au président de la République, qui par son pouvoir discrétionnaire à transféré une partie de ses prérogatives à un ministre ?

Au regard de tout ce qui précède, les athlètes centrafricains n’ont que leurs yeux pour pleurer. Textes taillés sur mesure, perte de qualité etprisonnier en sursis, Gilles Gilbert Grézénguet démontre ses capacités de nuisances aux athlètes, avec des présidents de fédérations, véritables âmes achetées, qui n’ont que vendre l’avenir de la jeunesse pour leurs proches. Comme disait Max Weber: “on peut tout faire avec les baillonnettes sa s s’asseoir dessus”.
On peut aujourd’hui, marquer un passage enforcement violation des textes, mais un jour, ces mêmes athlètes bloqués dont leur avenir est incertain, décideront et ce serait le départ des présidents des fédérations sportives, manipulés. Adieu, le respect de l’autorité de l’Etat.

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