Reconnu sur l’échiquier politique nationale de maudit par Patassé et versatile, Martin Ziguélé, admis à faire valoir ses droits à la retraite politique, après avoir été trois fois battu avec un score piteux, refait surface par une déclaration fantaisiste contre le pouvoir de Touadéra.
On connaitra toutes les couleurs de nos véreux hommes politiques, causes endogènes de la souffrance du Peuple Centrafricain. Martin Ziguélé, un véritable girafe politique, rompu dans des manœuvres sombres, vient encore une fois de plus, parler de l’insécurité en Centrafrique.

Sans honte, ni froid aux yeux, le piteux Martin Ziguélé en fin de sa carrière politique, pense faire la leçon de morale aux centrafricains.
S’il ya un politicard qui a été la cause directe de nos peines, celui qui a soutenu mordicus la prise du pouvoir par la horde de la coalition séléka, c’est Martin Ziguélé du Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain (MLPC).

Habitué à faire et à soutenir les coups de force comme il l’a fait à la tête du Parti MLPC, Ziguélé ne peut que soutenir les forces du mal pour assouvir ses esprits belliqueux du pouvoir.
Avant la tenue des élections du 23 Décembre 2020 où il a été lamentablement battu par le vainqueur, Faustin Archange Touadéra, Martin Ziguélé avait déclaré le 07 Novembre 2020 sur RFI en ces termes : « le MLPC est prêt pour les élections. Quel que soient les conditions, nous irons aux élections pour une alternance politique… »

Comble de son double malheur dont le premier est la malédiction prédite par son mentor Ange Félix Patassé et le second, c’est le serment qu’il a prêté devant ses militants lors d’une réunion en Belgique que le Quai d’Orsay a validé son accession à la magistrature aux élections de 2016. Autrement dit, s’il ne gagne pas, il prendra sa retraite politique ».

Malheureusement, l’homme a organisé un fameux congrès en Mars 2020 pour déclarer sa candidature, juste dans le seul intérêt de bénéficier du financement du Socialisme international.
En dépit de son volte-face politique, Martin Ziguélé que tous les centrafricains connaissent bien son accointance et alliance avec Michel Djotodia de la coalition séléka, parle aujourd’hui de l’insécurité en Centrafrique.

Posons-nous la question de savoir, qui a amené la séléka pour renouveler le pacte de l’insécurité ? Ce n’est pas Ziguélé, Tiangaye, l’éternel avocat de la transition et autres ?
Certes, la sanction électorale qui lui a été infligée n’est pas encore terminée. Il y a d’autres qui vont s’en suivre. Ziguélé a-t-il oublié qu’il était sous sa gouvernance, il a en premier lieu, amené les banyamuléngué et encore la séléka ?
Ziguélé qui croyait être le successeur de Michel Djotodia, avec des multiples exercices de marches et de salutations, se voit hors plaque.

En quoi, Ziguélé pourrait nous contrarier dès lors que c’est lui qui a poussé Michel Djotodia à s’emparer du pouvoir pour rendre ingouvernable la RCA ? Piteux homme politique. Il s’est greffé au président Touadéra pour placer ses militants et cadres du parti en vue de connaître les secrets politiques du président de la République.

Comme le pouvoir vient de l’Eternel, Ziguélé ne peut rien faire à cause de sa versatilité et sa malédiction prononcée par FEU Patassé, MZ regagne la COD-2020, alors que ses militants sont restés en postes dans les fonctions au régime Touadéra.
Le coup de force qu’il a organisé en renversant Patassé, c’est MLPC qui paie le prix. Ziguélé ne fait formé à son image politique, des jeunes cadres mlpécistes voleurs, à l’exemple de Désiré Erénon, so neveu, Chancel SEKODE NDEUGBAYI, Omer BIKO et Régis Lionel DOUNDA.

D’ailleurs, le MLPC est devenu un patrimoine familial de Ziguélé qui reçoit le financement du socialisme international, octroie une partie infime à ses amis Jean Gabriel Edouard Koyambonou, alias Koyas, Jackson Mazette, et le reliquat orienté pour ses affaires personnelles.

Il est temps que les militantes et militants se réveillent pour chasser le braconnier national, Martin Ziguélé à la tête du grand parti MLPC du FEU barbu national. Eu égard à ce qui précède, quel que soit les efforts médiatiques funestes, Martin Ziguélé est arrivé à la fin de sa carrière politique.

La dernière sanction qui l’attend, c’est le châtiment corporel, s’il oserait organiser encore de plus son fameux congrès pour déclarer sa candidature pour les élections à venir.

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