Nourd Grégaza représente un danger public en France et en Centrafrique. Un terroriste et djihadiste qui a endeuillé de nombreuses familles lors de l’invasion sanguinaire, de la peste de séléka au pouvoir, le 24 Mars 2013.
Il y a trois ans que ce terroriste a fait une déclaration selon laquelle il devrait éclater sa ceinture de djihadiste à Paris (France) et à Bangui (Centrafrique).
Il vient de confirmer sa prédisposition terroriste par une déclaration tapageuse sur la mort de M. Zakaria Damane, l’un des chefs de guerre de la séléka.
Voilà la face cachée d’un terroriste, djihadiste et faux leader de parti quasi inexistant sur l’échiquier politique national qui appelle les musulmans à la déstabilisation des institutions de la République, suite à la disparition de son « chef d’Etat-Major », Zakaria Damane.
Pendant que le président centrafricain, Faustin Archange Touadéra s’attelle pour la réconciliation national, un certain Nourd Grégaza, l’un des tueurs de la République, se permet de faire une déclaration tapageuse, assimilée à un appel à la guerre de nature à diviser davantage les centrafricains.
A-t-il fondé sa formation politique inféodée à la rébellion et exclusivement à la communauté musulmane ? En quoi, parle-t-on de la laïcité de l’Etat ? Voilà une preuve tangible des agitations macabres d’un soi-disant leader d’un parti politique, qui naturellement devrait appeler à l’unité au lieu de la division.
Sans démontrer cas par cas, la situation dans laquelle son chef d’Etat-major, Zakaria Damane est mort, Nourd Grégaza, se lance dans des invectives et des accusations fantaisistes de façons à plaire à ses mentors, ennemis de la paix.
A la seule question de savoir, comment un parti politique peut se prévaloir d’avoir un chef d’Etat-major militaire ou rebelle ? N’est-ce pas une preuve qui confirme bien la participation criminelle de Nourd Grégaza à déstabiliser notre pays, la RCA ?
Dans l’extrait de so communiqué, cet ancien tortionnaire de la coalition séléka a déclaré : « je vous le répète, le problème de religion n’a rien à voir avec la crise que connais notre pays. Quant à vous mes parents qui font partie du gouvernement, l’objectif de votre participation à ce gouvernement était de garantir la sécurité et la protection de la communauté musulmane de Centrafrique ». Devant une telle attitude criminelle, la déclaration douce de guerre de Nourd Grégaza contre les institutions légitimement établies, issues d’une élection transparente et approuvée par tous.
Au lieu d’appeler la population au calme et à la retenu en attendant l’ouverture d’enquête sur les circonstances de la disparition de M. Damane, Nourd Grégaza appelle à un sursaut patriotique. De quel sursaut patriotique parle ce criminel en sursis ?
Les centrafricains épris de paix s’insurgent contre cet appel, de l’un de leurs bourreaux. Comme on le dit : ‘’ le criminel revient toujours sur ses lieux de crime ».
De qui se moque Nourd Grégaza un manipulé, désorienté et président d’un parti alimentaire voire satellitaire, celui qui s’est investi dans des entreprises criminelles en Centrafrique.
Voilà comment ce fameux leader politique, président fondateur du PRNC étale ses insanités intestinales de nuisance à son propre pays et à ses compatriotes.
Un assoiffé de tout genre, qui, d’ailleurs a longtemps cherché à entrer au gouvernement, ne visant que ses intérêts ventraux, appelle l’armée à la désobéissance.
Ce fameux homme politique de Nourd Grégaza, à vision guerrière, n’attend que son interpellation devant la Cour Pénale Spéciale (CPS) pour incitation à la haine et à la violence.
Malgré la politique de main tendue du président Touadéra, de rassembler tous les centrafricains, ce jaloux de Nourd Grégaza, l’un des chefs rebelles qui ont bénéficié de la souplesse du président Touadéra, s’agite encore en militant pour la souffrance des centrafricains.
Pendant que les populations acclament les instructeurs russes et les alliés rwandais d’avoir sauvé la patrie centrafricaine face aux loups, cet affamé politique de Grégaza raconte ses boutades au nom de ces instructeurs russes.
On connaîtra peu à peu le visage des criminels tortionnaires et aventuriers politiques pour que la justice les rattrape. Nourd Grégaza en est un exemple atypique de ceux qui tuent la Centrafrique. « Le chien aboie, la c caravane passe ».
Nous interpellons les services interpoles de la France et de Centrafrique de tout faire pour mettre aux arrêts ce terroriste et djihadiste de Nourd Grégaza. Toutefois, les autorités judiciaires doivent à travers la commission rogatoire, l’interpeller afin qu’il soit jugé à propos de ses actes criminels.
