Le coup de force orchestré à la tête du Comité National Olympique et Sportif Centrafricain (CNOSCA), est une forme de combat ésotérique entre les chrétiens et le monde des ténébres.
Aisément, le monde terrestre est sous contrôle du diable, ce qui se matérialise par le passage en force de Gilles Gilbert Grézéguet. Mais le jugement dernier reserverra une surprise aux fidéles croyants à l’Éternel.
En quoi devrait on s’étonner si les francs maçons se font entendre malgré les exigences administratives, loyales et procédurales devant conduire à la réussite de cette assemblée générale ?

Gilles Gilbert Grezénguet bien qu’étant de l’incompatibilité, condamné refait son passage en force contrairement à sa perte de qualité de membre du CNOSCA, suite à sa condamnation par la justice Centrafricaine avec un mandat illégitimes voire même expiré depuis deux ans.
Comment un.priosnnier peut se prévaloir ce titre de revenir à la tête d’une institution comme le CNOSCA en violation flagrante des textes?
D’après des informations de sources recoupées : “le ministère en charge de la jeunesse et des sports avait pris une décision suspendant l’organisation et la tenue des élections. Le matin du 13 novembre 2021, les forces de l’ordre ont investi les lieux aux fins d’interdire la tenue effective de cette assemblée générale élective”

Malheureusement, un certain Fidéle Gouandjika face aux billets de banque d’un montant d’un million de FCFA en vie de finaliser son palais royal, a sacrifié le respect de l’autorité de l’Etat, ordonnant aux forces e l’ordre de quitter les lieux pour ce laxisme.
Fidéle Gouandjika, l’un des tortionnaire de la République, tribalisme et caractériel fait usage du trafic d’influence pour baffouer les décisions.
C’est un encouragement à une rébellion douce et passive ou une guère froide organisée contre les autorités de Bangui dont le conseiller Gouandjika est le chef d’orchestre.

Aujourd’hui, le désordre, le tribalisme,le clanisme, le despotisme et la mauvaise gestion imposés par Gilles Gilbert Grezénguet qui a toujours crié comme la cigale pour la défense de la patrie et la philosophie de rupture avec les pratique atavistiques.
Qui pourrait encore suivre les fourberies, les mesquineries et les simagrées politiques de Fidéle Gouandjika qui s’érige en donneur de leçon, alors qu’il est louche, un loup habillé en mouton en face virevoltante contre la.jeunesse Centraftocaine.
Voilà une preuve du ce qui est décrié longtemps par les observateurs de la vie publique que le président Touadera s’est mal entouré avec la présence d’un amateur politique, un té ka, mon té gué qu’est Fdéle Gouandjika.

Oû est donc la place de la jeunesse Centrafricaine face aux loups et manipulateurs, vendeurs d’illusion politique et aux tortionnaires qui font usage de leurs pratiques ésotérique imposant leurs lois personnelles ?
Il va sans dire que les fourberies et mascarades par Gilles Gilbert Grézénguet et soutenues par Fidéle Gouandjika doivent être annulées aux fins d’apaiser les tensions. Aujourd’hui, les membres des fédérations commencent à désavouer cette élection qui va l’encontre de leur assentiment.

Si Gilbert Grézénguet est sage avec tout ce qu’il a laissé comme mauvaises traces depuis 40ans au CNOSCA, la raison doit le guider à se retirer pure et simple aux fins de favoriser la cohésion,la collaboration entre les fédérations. Sinon le divorce est prêt à observer. Ce qui s’est passé le samedi dernier, est un coup de force marquant l’imposition de la loi des francs maçons qui se font parler eux mêmes.

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