Des scènes ces derniers temps montrent un mépris envers les journalistes.

J’accuse notre corporation qui a disparu de la scène. l’Union des Journalistes Centrafricains ne reste que l’ombre d’elle même. Elle n’intéresse personne, les contenus de ses mémorandums n’intéressent personne depuis plusieurs années.

Elle est morte et la profession est en danger. Nous n’avons plus une voix qui porte et n’importe qui peut se lever et dire n’importe quoi sur les journalistes.

Moi de cette nouvelle génération, je ne peux pas observer un silence. Cette corporation nous appartient, nous de la présente génération.

Nos pères et nos aînés ont fait leur preuve, ils resteront nos conseillers pour ceux qui sont encore en vie et des monuments pour ceux qui nous ont quittés.

Alors Journalistes, si nous voulons être respectés, soyons souder, résistons à la tempête, elle s’éloignera.
Je resterais la voix de ceux-là qui ne peuvent pas lever un bout de doigt.
Je parlerais toujours à cause du sacrifice de nos doyens.

Les choses doivent changer en commençant par nous même.
J’ai refusé de participer aux cérémonies officielles depuis le jour d’investiture à cause du comportement des protocoles et même de certains confrères aujourd’hui dans les cellules de communication des ministères et institutions de la République. J’y vais quand je veux. Rien ne change en moi.
Nous devons changer les choses avant que les autres ne fassent à notre place.
Patriotiquement

Please follow and like us:
Pin Share

LEAVE A REPLY

Please enter your comment!
Please enter your name here